, bernard emié alors ambassadeur en Algérie et aujourd’hui à la tête de la DGSE, a tancé ses collaborateurs, leur reprochant de ne pas avoir anticipé le limogeage du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et son remplacement par Abedelmadjid Tebboune . « Que vais-je dire maintenant au Quai d’Orsay ? » aurait lancé Émié en apprenant la composition du nouveau gouvernement algérien.
Il n’est pas le seul à avoir été pris de court. Sellal lui-même a appris la nouvelle de son éviction le jour même de son départ, de la bouche d’Ahmed ouvahia , directeur de cabinet de la présidence de la République.
AFP