le ministre hamed bakayoko et le président allassan ouattara
Opposer le courage, la bonté, la patience aux infortunes et aux injustices, c’est prouver qu’on leur est supérieur lors même qu’on en est la victime.
Nicolas Sarkozy avoue avoir installé Alassane Ouattara en renversant le président Laurent Gbagbo, déclaré élu à l’issue de l’élection présidentielle de novembre 2010, et investi comme tel par le conseil constitutionnel ,, l’unique juge des élections en Côte d’Ivoire. Gbagbo a été «sorti» pour qu’Alassane Ouattara soit «installé» comme l’affirme Nicolas Sarkozy, à la page 39 du livre.
La première vérité, c’est qu’il s’agit d’un aveu pur et simple de coup d’état. La deuxième vérité dévoilée par cet aveu, c’est que Sarkozy reconnaît l’implication de la France dans le drame ivoirien qui a coûté la vie à des milliers d enfants’, de femmes et d’hommes. La troisième vérité, c’est la raison économique qui a motivé, comme l’indique Nicolas Sarkozy, la barbarie de l’armée française en Côte d’Ivoire. Notre pays étant pour la France , une vache à lait. Dès lors, toutes ses ressources naturelles énormes doivent être contrôlées par la France .
toutes ces vérités contredisent clairement ce que Nicolas Sarkozy avait toujours brandi comme argument au début de son offensive contre le président Gbagbo dans une affaire de contentieux électoral. A savoir que c’était pour « le respect du choix des Ivoiriens exprimé dans les urnes».
Le régime liberticide du président Alassane Dramane Ouattara, monté aux affaires étatiques grâce aux soins des bombes démocratiques franco-onusiennes le 11 Avril 2011, suite à la chute du gouvernement démocratiquement et légitimement élu du Président-sortant, Laurent Gbagbo, tente dans la mesure du possible de passer pour une entité étatique vertueuse, démocratique, respectueuse des Droits de l’homme et pour la Justice naturelle ou du moins de restaurer la Justice, la cohésion sociale, la réconciliation des enfants du pays, séparés ou divisés, selon leurs propres dires, par « la politique xénophobe du dictateur Gbagbo, marginalisant les populations du nord et installant une politique répressive consistant à physiquement éliminer les militants du RDR ou certaines personnalités proches du Président reconnu par la communauté internationale, le Dr, Alassane Dramane Ouattara, suite à une campagne de terreur vieille d’une décennie… ».
Une équipe de français, spécialement recrutés pour polir l’image des Ouattara et surtout du régime prit ses quartiers au sein même du Palais de la Présidence. Cette équipe est dirigée par *Anne Meaux aux frais du contribuable ivoirien.
*Anne Méaux
Elle s’occupe de l’image et la communication du couple Présidentiel Ivoirien. Anne Méaux est propriétaire d’Image 7, une boîte de communication française qui fut chargée de soigner l’image du Couple Ben Ali en France, le Président Tunisien, le premier dirigeant Arabe à être dégagé par le printemps arabe. Il semblerait qu’elle touchait plus de 200.000 euros par an pour faire cette besogne.
Il est aussi à noter que tout le personnel du Palais Présidentiel, fut conseillé d’apporter un soutien technique et collaboration en tout à cette équipe d’experts français. La plupart des visages non africains dans les couloirs du Palais, des expatriés ou des coopérants, furent tous installés par l’ex Président Nicolas Sarkozy, au lendemain de l’investiture de son ami et poulain, le 11 Mai 2011.
La France avait déployé tout un bataillon de professionnels ou un personnel bis français, ne répondant uniquement qu’aux fonctionnaires et autres personnalités désignées du Palais de l’Elysée et du Quai D’Orsay.
Ils sont tous Français. Ils furent tous envoyés en mission par M. Nicolas Sarkozy. Ils ne répondaient que de lui. Désormais, ils répondent à M. François Hollande et à son entourage. Ces français ou coopérants avaient pris leurs quartiers au palais présidentiel après le coup d’état de 2011 et y sont toujours. Ce sont les yeux, les oreilles et la bouche de La France auprès du préfet M. Ouattara. Ce sont les défenseurs des intérêts Français. Ils gèrent presque tous les domaines des finances, à la défense, en passant par le renseignement et la communication.
Tout était prévu au sein de ce bataillon de coopérants, depuis les Ministères de la Défense, de l’économie, des Affaires Étrangères, de l’Intendance et même une équipe chargée de conseiller ou d’apporter leur expertise dans divers domaines, à savoir les écoutes téléphoniques (Compagnie mobile Orange), la formation militaire des ex Commandants de la rébellion, passant au grade d’Officiers Supérieurs, celui de Lieutenant-Colonel, sans avoir au préalable fait les écoles de guerre ou sans aucune maitrise de la langue de Molière, passant, pour la plupart du grade de Caporal ou de soldat de rang au grade de Commandant, pendant la crise et depuis le 15 Juillet 2011, au grade de Lieutenant-Colonel.
Le Ministère de la Défense, dirigé par *Le Général Claude Réglat, fut quant à lui chargé de l’équipement en armes de guerre, de véhicules blindés, de la **formation des Forces Républicaines de Côte D’Ivoire (FRCI) en violation flagrante de l’embargo sur les armes et autres matériels militaires, sanction onusienne encore en place.
*Le Général Claude Réglat.
Ancien commandant des Forces Françaises au Gabon (FFG), il gère les FRCI et est en charge des écoutes téléphoniques. Cet homme est le vrai ministre de la défense de Côte d’Ivoire.
**Le Colonel Marc Paitier.
Il a été affecté à Abidjan en qualité de conseiller spécial à la Présidence, chargé des questions militaires. Ce Nantais, homme de terrain est père de six enfants.
Il va contribuer à la refonte de l’armée Ivoirienne squattée par les ex rebelles à la solde du PAN Guillaume Soro dont il est d’ailleurs chargé de surveiller. Il n’est pas un étranger en Côte d’Ivoire, puisqu’il a déjà servi de 2005 à 2006 en tant qu’assistant auprès du Général Elrick Irastorza, alors commandant de la force Française Licorne.
Les FRCI, l’armée de fortune et armée tribale des Ouattara, créée dans la clandestinité, le 17 Mars 2011, au sein du complexe hôtelier du Golf Club, ou Hôtel du Golf, servant de Quartier Général aux fraudeurs et déstabilisateurs du RDR ou du RHDP, avec à leur tête, le perdant Ouattara, nombreuses personnalités du groupe politique le RHDP et une armée de rebelles, conduite par un certain Issiaka Ouattara, dit Wattao, armée encadrée et soutenue par des éléments de l’ONUCI, quant à ces derniers appuyés par un soutien tactique aérien franco-onusien, servant de moyen de locomotion ou taxi des personnalités, des vivres, des troupes, armes et munitions afin de contourner le blocus mis en place par l’armée régulière, les FDS-CI.
Il est à noter que la création des FRCI est purement et simplement illégale, car le voltaïque Ouattara n’avait aucun mandat étatique ou encore qu’il n’était même pas encore investi par le Conseil Constitutionnel, lui donnant en quelque sorte, l’autorité constitutionnelle de créer des institutions du pays. Les FRCI furent créées en pleine clandestinité et en pleine crise post-électorale, au sein du Bunker des Ouattara et entourage, le Golf Hôtel, un 17 Mars 2011.
Or, son « investiture » forcée par la France à travers une décision de Jean-Ping de L’UA, forçant la main au Président du Conseil Constitutionnel, le Professeur Yao Paul N’Dré, autrefois considéré comme un proche des Gbagbo par la communauté internationale, afin de justifier son parti pris dans la décision du 4 Décembre et enfin le désavouer pour confirmer la « victoire » de Ouattara, victoire non fondée ou non prouvée jusqu’à nos jours, par la même nébuleuse communauté internationale.
Cet homme fut littéralement forcé ou contraint de rentrer d’exil, afin de mettre de côté sa décision du 4 Décembre 2010, faisant du Président Laurent Gbagbo, le véritable vainqueur des élections, pour enfin accommoder la volonté de la France, souhaitant investir leur poulain, le 11 Mai 2011, à Yamoussoukro, en présence de Nicolas Sarkozy lui-même et nombreuses personnalités au sein de la communauté internationale.
La décision du Conseil Constitutionnel (CCI) fut mise à l’écart afin d’investir le véritable perdant des élections. Or, la décision du Conseil Constitutionnel, copie de son équivalent français, s’impose à tous y compris à la communauté internationale et ne saurait être l’objet de révisions ou d’amendements ou tout autre chose en tenant compte des traites et autres accords internationaux.
Si la décision du Conseil Constitutionnel devrait être révisée ou amendée, cela ne revient point à la communauté internationale ou à l’UA mais plutôt aux populations ivoiriennes par voie référendaire, car ce sont eux les véritables dépositaires de la Constitution du 23 Juillet 2000, ayant servi de socle pour l’organisation des élections d’Octobre et de Novembre 2010 et la décision en date du 4 Décembre 2010.
En clair, ni les FRCI ni le Chef d’état ivoirien, ne sont reconnus par les clauses ou articles de la Constitution de Juillet 2000. Ils sont entre autres des faussaires et des usurpateurs.
Il est alors malsain de désigner Ouattara en tant que « Président de la République de Côte D’Ivoire », car il fut uniquement reconnu par « la communauté internationale » et non par les ivoiriens, exerçant leur droit civique un jour du 28 Novembre 2010. Par conséquent, il est à considérer au même titre qu’un putschiste et être uniquement reconnu comme le « Chef d’état » de la République de Côte D’Ivoire.
Ceci explique en grande partie les différentes tractations du régime afin que les personnalités du FPI, puissent reconnaitre le régime Ouattara afin de lui donner une certaine légitimité et représentativité. Toutes les tractations, arrangements politiques et les défections de certains pro-Gbagbo furent uniquement dans l’esprit d’apporter une certaine légitimité au régime moribond de Ouattara. Ceci explique également les véritables motivations de l’ex Président Pascal Affi N’Guessan, du FPI, d’accompagner vaille que vaille le régime, aux échéances électorales d’Octobre 2015.
En clair, il fut question d’accompagner le régime et en retour, certains ministères-clés y compris la Primature seront laissés à l’unique gestion du FPI et par-dessus, démontrer devant l’opinion nationale et internationale que le véritable problème ivoirien ne fut point le FPI, mais plutôt le Président Laurent Gbagbo, d’où son maintien loin des affaires étatiques, pour le bonheur des ivoiriens, la stabilité politique et l’émergence.
Tout homme politique doit également assurer ses arrières ou sa succession afin de se maintenir au pouvoir à travers les autres ou son entourage.
N’ayant point d’enfants capables d’assumer sa succession, le choix de Ouattara se porta sur « son fils adoptif », l’ex Loubard* (*Brigand), animateur radio et expert en danse congolaise à savoir le Batchingué et N’dombolo, passé plus tard, Patron de la Radio Nostalgie, un medium de propagandes des Ouattara, puis Ministre au sein du gouvernement Gbagbo et depuis le 11 Avril 2011, le sinistre Ministre de l’Intérieur, le véritable patron de la Gestapo ou milices pro-Ouattara, à savoir le CCDO (Centre de Coordination des Opérations Décisionnelles, crée le 11 Mars 2013) et d’autres unités au sein de la Police, unités patrouillant très souvent en cagoules.
Le choix de ce sinistre personnage n’est point anodin ! Hamed Bakayoko est un géant, un véritable sadique et foncièrement redevable aux Ouattara pour l’avoir sorti des ténèbres du chômage et surtout de l’anonymat pour en faire la célébrité qu’il est de nos jours au sein des militants et sympathisants du RDR.
Notre dossier exclusif sur le premier policier du régime Ouattara est d’une importance majeure voire capitale afin de mieux appréhender la nature du régime et surtout les intrigues politiques concernant la succession de Ouattara, lors de son hospitalisation pour la Prostate avancée, en Février 2014.
L’on se souvient encore des camps et autres clans naissant çà et là, afin de réclamer l’intérim du pouvoir exécutif ou l’application de tel ou tel article de la Constitution de 2000. Un clan réclamait la succession en cas de vacances de pouvoir, assumée par le Président de l’Assemblée Nationale (PAN), un autre souhaitait la succession assumée par le Premier Ministre Duncan, du PDCI-RDA, véritable parti faiseur de roi et la Première Dame, Dominique Nouvian Folloroux Fadiga Ouattara ou connue sous le nom d’emprunt « Fanta Gbê » en Bambara ou Dioula « Fanta La Blanche », souhaitant la succession assumée par son fils adoptif, le Ministre de la défense Hamed Bakayoko.
Depuis lors, une équipe particulière fut dépêchée sur les bords de la Lagune Ebrié, afin de transformer « le dauphin », en un produit commercial, acceptable, accepté de tous comme l’alternative pour la jeunesse ivoirienne ou la nouvelle coqueluche de la jeunesse ivoirienne, véritables bataillons d’électeurs, tentant d’effacer des esprits et des cœurs, l’ex Leader de la Galaxie Patriotique, le Ministre Charles Blé Goudé. D’ailleurs ce dernier lui fut confié afin de l’éteindre politiquement avec le concours de ses propres camarades de lutte tant en Europe qu’en Afrique, facilitant son enlèvement à Tema, Accra, Ghana, le 17 Janvier 2012, son transfert vers la Côte D’Ivoire, en violation flagrante des normes et accords ou textes de la CEDEAO, dont Charles Blé Goudé et son pays, la Côte D’Ivoire sont membres, sa détention 14 mois durant en résidence « protégée », dixit Hamed Bakayoko, en réalité en détention au sous-sol de la DST Ivoirienne et quelques fois au sous-sol de la Résidence des Ouattara, à la Riviera et finalement son transfert vers la Haye, courant Mars 2014.
Qui est réellement Hamed Bakayoko ? Ange ou Bourreau ou Super-Ministre ?
Ce politicard du RDR a vu le jour le 11 Mai 1965. Cependant, il tente de faire croire sur certains de groupes qu’il serait né 19 Décembre 1996. Comment est-ce possible ? Avec ce régime tout est possible ! Tous des faussaires en puissance et des mythomanes !
Les personnes ressources ou certains proches du sieur Bakayoko le décrivent comme un véritable manipulateur, un bon viveur, un homme à femmes, obsédé par sa propre personne et une quelconque image d’homme politique aux ambitions présidentielles.
Pour cela, il créa pour son propre culte de personnalité, un club de soutien ou un fan club, aussi présent sur les réseaux sociaux, Facebook.
[Fan club Hamed Bakayoko]
« Bonjour à tous,
Comme promis, j’ai invité à déjeuner certains parmi vous, fans actifs de ma page. Nous avons passé ensemble une journée sympathique à Assinie. Je voudrais remercier mes collègues ministre de la communication et du budget qui nous ont fait l’honneur d’une visite surprise.
J’espère pouvoir reconduire régulièrement de tels instants de rencontre. Je vous souhaite un excellent dimanche ».
[Propos flatteurs d’un affamé à la solde du RDR]
Amichia jean Charles
« D’une simplicité légendaire, avec un charisme qui force le respect et l’admiration, Hamed par son travail gagne chaque jour le respect.
Le respect de ces concitoyens, de l’opinion national et international. On ne peut que suivre ses actions et adhérer au concept de l’Ivoirien nouveau.
Lorsque les gens sous-estiment vos rêves et prédisent votre perte ou vous critiquent, vous devez vous rappeler qu’ils racontent leur propre histoire et non la vôtre. Excellent soirée à tous ».
Hummmmm ! Qu’est-ce que la faim pousse certaines personnes à raconter sur d’autres, surtout les plus médiocres de la communauté vivant aux crochets du contribuable ivoirien.
Cependant, lorsqu’on souhaite faire l’apologie du ministre Bakayoko, l’on s’assure de se munir au moins d’un dictionnaire.
Par exemple il s’agit « d’une opinion » et non « d’un opinion ». Cela se comprend aisément lorsqu’on est très souvent en compagnie de médiocres et de minables. On finit par les singer en tout ! Ce ne sera pas Kandi Camara Kamissoko, Ministre de l’Education Nationale qui pourra également vous apporter la correction. Elle est la personnification même de la médiocrité exprimée avec toutes les incidences de la langue Bambara ou le Dioula, lui valant exceptionnellement, son propre lexique, « Kandiarousse ». Apparemment, cela est distribué gratuitement dans les établissements scolaires et universitaires. Demandez à vos enfants, pour votre copie personnelle !
Depuis la publication des photos du Ministre Charles Blé Goudé, dans sa cellule au sous-sol de la DST, dans une petite culotte blanche, torse nu, barbu et couché à même le sol, créant l’émoi et l’indignation à travers le monde et surtout de vives réactions sur les réseaux sociaux et conséquemment des photos digitalement retouchées du même détenu politique, cette fois-ci subtilement ou forcement placé devant les caméras des agents de la DST, dans l’unique but de démontrer aux yeux du monde des bonnes conditions de traitements du détenu. Ce travail d’Image cleaning ou tentative de polir l’image du sinistre Hamed Bakayoko, ayant auparavant annoncé au monde entier des bonnes conditions de détention de son prisonnier particulier, décrivant son lieu de détention comme une « résidence protégée » et non « résidence surveillée ». Avec cette horde d’analphabètes, le lexique français eut suffisamment le cou tordu et de nouveaux mots émergeant, capables d’avoir l’approbation de la Francophonie et de l’Académie française, pour finir leur course dans le Micro Robert ou Larousse, saison 2015.
Ce tortionnaire tentait dans la mesure du possible de passer pour un individu préoccupé par le strict respect des Droits de l’Homme ou particulièrement du droit des prisonniers politiques.
Être un ministre d’État et annoncer au monde entier les conditions de détentions du leader de la Galaxie Patriotique, dans l’unique but de maintenir ou entretenir le flou, fait montre de malhonnêteté intellectuelle. Être dans une position pareille de responsabilités, c’est bénéficier de la confiance des populations, des autorités et des institutions.
Cependant, lorsqu’un tel individu se met à mentir sur ceci ou cela, cela doit interpeler les uns et les autres. Qu’est-ce qu’Hamed Bakayoko tentait de nous voiler ou pourquoi autant d’opacités sur la vérité ? Peut-on encore faire confiance un tel personnage, fut-il Sinistre ou Ministre d’État et de la défense ?
L’équipe chargée de polir son image s’est automatiquement remise en place, afin de montrer un autre visage plus sensible, humain, fraternel, amical, social voire communautaire de cette brute de la nature, tentant de faire de lui la coqueluche de la Jeunesse ivoirienne et futur Président de la République de Côte D’Ivoire, en formation.
Des *cours accélérés de diction, de comportements et autres lui sont régulièrement enseignés afin de le transformer totalement ou du moins afin qu’il se défasse de ses attitudes de petit voyou.
*Frédéric Bedin (DG de Public Système Hopscotch).
Sa société est l’un des principaux acteurs indépendants du conseil en communication en France. Il est l’organisateur des grands évènements du pays. Il est l’architecte des cérémonies somptuaires de la prestation de serment de M. Ouattara et de son investiture. Il s’occupe aussi des conférences et séminaires que donnent les obligés du Chef d’état.
L’ingénieuse idée fut de plâtrer le visage de cet analphabète sur tous les évènements marquant du calendrier ivoirien ou des évènements internationaux. !
Aussi, l’on tente de faire de lui un intellectuel, un érudit, un éducateur, un promoteur des petites entreprises. Tout ceci dans l’unique but de convaincre ceux encore sceptiques des changements ou de la métamorphose opérée sur la personne d’Hamed Bakayoko.
Nous vous proposons deux des projets sociaux auxquels serait associé le nom du Super ministre Hamed Bakayoko.
Il est présent partout et même aux accouchements ! LoL !
L’on a même l’impression qu’il est l’unique ministre au sein du régime Ouattara. Depuis les campagnes pour la lutte contre l’Ebola ou le don du sang, choix et priorités du Ministère de la Santé Publique, sont également attribués pour l’unique profit de l’amélioration de l’image de cet homme politicard. Cependant, il parle peu ou est peu photographié sur les activités de son propre ministère, le Ministère de la defense ! Curieux n’est-ce pas ? Si le ridicule tuait !
Vabe Charles / consultant en stratégie et expert en communication