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COTE D’IVOIRE :par Charles Vabé / Le P.d.c.i du président Bedié doit prendre ses responsabilités dans la nouvelle cote d’ivoire.

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dans la nouvelle cote d’ivoire être libre est une personne qui défend son pays, sa nation et delà de sa nation, la liberté de tout humain quelque soit sa nationalité.
un être qui s’engage pour pour une vrai cause vraie, qui libère les autres humains d’un système opprimant.

Des  prises de position qui n’ont position que dans le virtuel, complétement déconnectées de l’intérêt et bien -être national.il arrive d’observer très souvent des prises position de ces acteurs qui sont contraires à propre survie politique et le bon sens voudrait que si le pays n’existe pas, eux non plus n’existeront pas. Ils ont souvent tendance à l’oublier.
Ces  personnes ont complétement oublié leur travail d’acteur politique, c’est-a-dire défendre en tout premier lieu les intérêts de leur pays et la vie de leurs concitoyens, se battre pour que leur pays existe d’abord localement, que chaque individu prenne conscience qu’il a un pays à travers les actions que posent les hommes et les femmes politique et que tout citoyen prenne conscience de son appartenance à un même peuple.
Ces hommes et ces femmes doivent à tout moment prendre des décision opportunes pour sauvegarder la vie de leurs concitoyens.
Une fois que cette conscience est établie, ils doivent se mettre a bâtir en posant des actes pour élever le pays à un stade plus évolué permettant à chacun de se déterminer à chaque fois en faveur de l’intérêt national.
C’est cela faire de la politique, et non passer son temps à prendre des décisions opposées pour faire plaisir à un autre peuple que le sien, .
IL parait plus normal de séduire son propre peuple, et une fois celui-ci satisfait, cela ne peut que rejaillir positivement sur les autres peuple amis

le souverainisme de gbagbo n’est pas du nationalisme parce qu’il n’a pas inventé ce dernier.
houphouet était nationaliste. la différence entre ces deux termes est que le souverainisme va plus loin, réorganise,re -conceptualise,réoriente et nationalisme.
si la différence parait mince,c’est que la singularité du souverainisme est mal établie, dans la mesure ou la trouve partout confondue au nationalisme classique.
beaucoup de chefs d’états africains sont, en effet, des nationalistes.
mais combien sont des souverainistes?

quoique le souverainisme soit l’orientation et une doctrine de l’action en matière étatique, il se décline en terme pratique observables, singulièrement dans les périodes de crise. la difficulté de notre histoire contemporaine, c’est que le première a avoir dit en Afrique que l’on pouvait devenir président de la république sans les armes est Laurent Gbagbo, une maxime qui a fait le tour de l’Afrique, du monde. » quand on ne peut pas devenir président de la république, ce n’est pas la mort, il faut laisser tomber »

la question nationale c’est donc un des traits de l’époque de 1990 que celle dernière est apparu, , c’est a dire le processus de dépassement d’une ancienne forme de solidarité des populations de la cote d’ivoire fondée sur la juxtaposition mécaniste et la cohésion par coercition externe de la part d’un appareil administratif,militaire et policier d’un ensemble disparate et composite d’états sociaux politiques,ethniques,triboclaniques, de sociétés segmentaires acéphales comme de sociétés fortement différenciées en classes, ordres monarchiques ou caste, dont le seul rapport d’intérêt économique, qui par la grâce de la division coloniale du travail, assurait l’exploitation des richesses et des patrimoines tout en maintenant des barrières de toutes sortes, idéologiques, religieuse, raciales, culturelles, identitaires et autres, entre les populations elles_mêmes.
c’est lorsque le drame de la cote d’ivoire moderne prit forme d’un clapotement territorial et d’une division tragique entre les hommes, les groupes d’hommes et les familles, au sein des familles, entre les confections et au sein des confessions, entre les ethnies entre les autochtones et les allongés d’un mêmes pays, entre les originaires et les étrangers, entre la capitale et le reste du pays etc,,,, que la question nationale apparut dans toute a dimension stratégie, c’est a dire comme condition sine qua non de la préservation de la cote d’ivoire et des ivoiriens.

aussi la nation n’est pas sortie de l’imagination du législateur, mais des crises, des épreuves et des passions de toutes ces entités socio-demographiques qui ,libérées de l’ancienne cohésion de type militaire et administratives créée par l’arbitraire coloniale.
énigme entamée mais non résolu par houphouét, le colonisateur était sommée d’inviter un nouveau lien social ou disparaitre, c’est a dire de réécrire dans le langage de l’histoire véridique les textes mêmes de la constitution de l’État, qui avaient précédé de très loin la naissance de la nation..
avec houphouet la cote d’ivoire avait un territoire et état, avec Gbagbo, elle disposera d’une nouvelle nation, c’est a dire d’un nouveau mode de liaison sociale entre les populations ivoiriennes, qui avaient été tenues séparés jusqu’ici les une des autres, selon les logiques séparatistes des identités et des sociétés grappes.
toujours est-il que la cote d’ivoire résistante au sens ou la réhabilitation de l’histoire en cote d’ivoire entend ce terme est un exemple d’insubordination et d’insoumission vis avis du vieux pacte coloniale,qui comme tel, est appelé a faire école dans toute les ex-colonies françaises d’Afrique et au-delà.

lors, la séduction qu’exerce la résistance, de même que le résistant,ne devraient pas estomper les droits de la pensée critique a s’élever au -dessus des contingences de événementiel ou du sensationnel pour examiner sur le fond et avec rigueur, sur une base scientifique et rationnelle rigoureuse, la manière de conflictualité au travers se forge en cote d’ivoire et ailleurs, le devenir de l ‘Afrique le plus moderne, mais aussi le plus audacieux.

Charles Vabé
Militant PDCI
Journaliste d’investigation
Directeur de publication./presse opinion.com

 

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