Comment un tel individu, parachuté à la tête de l’exécutif ivoirien sans réellement le mériter ni par la voie des urnes ni par la force des armes ou de par son armée de fortune, essentiellement constituée de soudards, de gnambro, de coxers, de prisonniers évadés, de bandits de grands chemins, de planteurs, de chasseurs traditionnels et de quelques déserteurs de l’armée régulière ivoirienne, très frustrés ou remontés et instrumentalisés contre leurs propres frères du sud forestier, suite aux photos digitalement retouchées de prétendues victimes nordistes d’un charnier découvert (charnier de Yopougon découvert en Octobre 2000) par…Ouattara lui-même, résidant à plus d’une vingtaine de kilomètres du lieu du crime et ayant confirmé devant les media occidentaux, l’appartenance ethnique et politique des victimes bien avant même les procédures d’usages policières et les résultats du médecin légiste, puisse se pencher sur la souffrance, la servitude, la paupérisation et le martyr des populations ivoiriennes, populations avec lesquelles il ne partage aucun lien historique et/ou ethnique ?
Ouattara est au pouvoir par la seule volonté de certains ivoiriens eux-mêmes, rancuniers, corrompus, naïfs, ignorants afin de régler des comptes à certains de leurs « ennemis politiques » après quelques frou-frou ou frustrations, avec bien entendu la complicité politique et militaire de l’ancienne métropole et l’instrumentalisation de ressources internationales telles l’ONU, l’ONUCI, la CEDEAO, l’ECOMOG, L’UA et l’UE.
En clair, les ivoiriens sont véritablement leurs propres bourreaux en s’offrant naïvement au suicide collectif ou génocides étatique ou collectif de la Côte D’Ivoire.
Les politiques, la plupart des personnages lugubres, corrompus, véreux, manipulateurs à souhait ou grands propagandistes politiques, passent le clair de leur temps à distraire les populations et les maintenir dans l’ignorance la plus abjecte afin d’en faire un bétail électoral docile et totalement soumis voire prêt à mourir pour leur personne ou personnalité d’égoïste, d’orgueilleux, de vaniteux, de prétentieux, de faux politicien ou de politicard ou de faux avocat ou porte-parole des sans voix ou des sans droits de l’homme ou des marginalisés ou des personnes ou communautés frustrées…
Telle est la triste réalité de la politique politicienne ou la politique du ventre ou de l’Individualisme en Afrique. En clair, les politiques comme Ouattara et consorts, éduqués et diplômés dans les plus grandes écoles et universités de notre univers, préfèrent maintenir le statu quo, c’est-à-dire la servitude du noir africain ou le statut de dominé ou d’esclave ou de commodité jetable pour les uniques intérêts de la métropole ou du Maitre blanc en retour ou en échange d’une présidence à vie ou une monarchie politique.
Dans toute cette stratégie, les intérêts des populations n’interviennent uniquement qu’après la satisfaction totale des intérêts de la métropole, du Chef d’état et son entourage. Les populations seront encore longtemps bernées par des discours pompeux et ennuyeux ou avec des promesses faramineuses jamais tenues et ce chaque fois que les élections s’approchent. Ridicule n’est-ce pas ? Et pourtant…Ainsi va l’Afrique !
Nous sommes en premier responsables de notre propre misère et servitude aux mains des nôtres et de la communauté internationale. Nous sommes nos propres bourreaux !
Nous avons délibérément et volontairement introduit le loup dans la bergerie !
A qui la faute ? Aux colons occidentaux ou aux humanoïdes occidentalisés ou au système éducatif occidental, truffé de contre-vérités et préjugés avec une forte dose de suprématie occidentale, système éducatif défaillant et peu pertinent pour les africains eux-mêmes car les maintenant dans un système les déshumanisant, les dénaturant, les diabolisant, les infantilisant….
En clair, Ouattara est dans ses droits de soutenir que tout va bien sous le soleil ivoirien, si les ivoiriens eux-mêmes n’ont point le courage ou les aptitudes intellectuelles de lui apporter la contradiction ou encore si les ivoiriens ne font pas de leur pays, le théâtre de la politique politicienne au lieu de la géopolitique.
Comment espérez-vous obtenir la liberté ou les libertés comme ce fut le cas des français de 1789 si vous n’êtes point considérés comme des humains ?
Observez autour de vous et dites-nous si les politiques démontrent des qualités de personnes sages, pensantes, humbles, responsables ou démontrant des qualités d’humanisme et de philanthropie au profit de la communauté ou du continent ou de leur propre race !
Que font-ils ces leaders religieux et autres donneurs de leçons au sein de nos communautés ? Pourquoi ce silence coupable et complice ? Sont-ils eux aussi menacés de mort ou profitent-ils de la misère de leurs propres fidèles et des populations en général ?
Dieu est-il est encore présent dans nos temples d’adoration ou les a-t-il désertés depuis belle lurette ?
Qui servons-nous les Vendredi et Dimanche ? Amon ou Mammon ?
Sommes-nous encore des hommes de religion ou des religieux et respectueux des lois divines ou moadim ou sommes-nous uniquement attachés à nos propres lois et codes politiques changeant selon nos propres humeurs du jour ?
Pour finir sur ce sujet scientifique et psychologique que constitue l’individu Ouattara, un personnage peu fier de ses propres origines douteuse , forçant à coups de milliards CFA et de bombes médiatiques et propagandistes, une citoyenneté ivoirienne obtenue par la déceptions, fraude, chantage, intimidations, violence gratuite, contre-vérités, un individu passé maitre dans la diabolisation, dénigrements, l’instrumentalisation des populations nordistes ou partageant les patronymes musulmans tout en jouant sur les frustrations individuelles, collectives ou communautaires, sur les fibres ethniques et religieuses et les contre-vérités ou la mythomanie, un individu devenu Chef d’état d’un état autrefois un havre de paix et de stabilité politique par réputation internationale, désormais transformé en une prison ouverte ou à ciel ouvert voire un véritable camp de concentrations à l’image des camps d’Auschwitz-Birkenau (Pologne), Beiźec (Pologne) et autres disséminés à travers l’Allemagne (Berga an der Elster (Berga, Thruringia), et le reste de l’Europe (Alderney (Iles du Channel), Amersfoort (Hollande) Banjica (Serbie) Bardufoss (Norvège), sous occupation nazie, pendant la deuxième guerre mondiale (1939-1945), prétendant sans aucune honte bue, sans aucune gêne, sans retenue, sans humilités avoir obtenu 54.1% au second tour des élections présidentielles de Novembre 2010 malgré les irrégularités flagrantes constatées dans son bastion du nord du pays et l’annulation des résultats de ces bureaux de votes frauduleux, un individu refusant catégoriquement la décision de la plus haute juridiction du pays, en l’occurrence la décision du 3 Décembre 2010 du Conseil Constitutionnel ivoirien, une institution calquée sur celle de l’ancienne métropole, la France, et choisissant délibérément et honteusement de se contenter de la décision d’un proche des proches, allié au sein du groupement politique le RHDP.
M. Youssouf Bakayoko, Président de la Commission Electorale Indépendante (CEI), une institution administrative à majorité aux mains du RHDP et également au bas de l’échelle par rapport au Conseil Constitutionnel ivoirien, un individu refusant de se soumettre à la Constitution de Juillet 2000 et décidant de faire la rébellion avec le soutien tacite, coupable et complice de la communauté internationale, avec la France Sarkozienne, un ami françafricain de longue date, afin d’imposer ses desiderata de petite personne frustrée, envieuse, vaniteuse, vantarde et de personne sans loi ni foi à travers une guerre civile injuste faisant des milliers de morts en lieu et place d’un recomptage des voix pouvant faire l’économie de la guerre et des vies humaines, cet individu prétendant être un véritable démocrate pour avoir harcelé une décennie durant son rival politique et ennemi juré, qu’il taxait à chaque occasion de « xénophobe, de dictateur et de criminel », est celui-là-même qui détient plus de la moitié du pays en otages et en détention préventive à durée illimitée.
Comment sommes-nous arrivés à cela ? Simplement parce que certains ivoiriens, tendant à être politiquement corrects ou tentant de se débarrasser d’une étiquette de xénophobe ou d’anti-français ont délibérément ou naïvement cautionné l’intolérable, l’impensable, l’inimaginable en combattant de toutes leurs énergies un des leurs, le Président Gbagbo pour le compte d’un étranger, Ouattara, les divisant et les instrumentalisant à souhait, pour son propre compte et pour ses PROPRES ambitions mercantilistes ou d’affairiste françafricain.
Qu’est-ce que les ivoiriens en général ont-ils obtenu de cette bêtise humaine, une idiotie politique, une aberration contre-nature en termes de démocratie, protection et respect des droits de l’homme, développement, progrès, emplois, écoles et universités, routes, hôpitaux, soins gratuits pour tous, salaires décents, retraite dorée, pensions décentes, logements décents, sécurité des biens, des personnes et des frontières, de la souveraineté du pays, du respect ou du strict respect des lois fondamentales du pays, du respect des institutions du pays, de l’amélioration du niveau de vie de l’ivoirien lambda … Absolument rien, sinon tristesse, désolation, paupérisation générale et généralisée, tortures, assassinats, génocides, violations graves des droits de l’Homme, violations flagrantes de la Constitution de Juillet 2000 en 20 articles, une justice déséquilibrée, hautement partisane et à sens unique, criminalisant uniquement les pro-Gbagbo, une administration mono colore et mono-ethnique, une assemblée nationale mono-colore, mono-ethnique et aux uniques ordres du Maitre des lieux, une armée de fortune, illégalement constituée le 17 Mars 2011 alors que l’actuel Chef d’état ivoirien n’était pas encore reconnu et investi par le Conseil Constitutionnel ivoirien, une armée ethno-régionale à hauteur de 79% des ressortissants du nord et de la sous-région, depuis la chaine de commandement aux soldats de rang, une politique fasciste baptisée « Le rattrapage ethnique » et bien d’autres méfaits économiques et sociopolitiques.
Sommes-nous mieux traités et heureux sous le régime Ouattara que l’on ne le fut sous « le tyran Gbagbo » ? Telle est la question que tout ivoirien doit tenter d’y apporter des réponses objectives et politiquement dépassionnées !
Pourquoi les pro-Gbagbo sont-ils les seuls à payer pour les crimes commis par Ouattara et sa horde de sauvages et buveurs de sang depuis le 7 Décembre 1993 à nos jours ?
Est-ce faire ou rendre la Justice naturelle en embastillant des innocents militants du parti politique cde son rival, et laissant en toute liberté tous les criminels indexés, identifiés du camp Ouattara par les véritables organisations pour la défense des droits de l’Homme, qui firent de le harcèlement, intimidations et chantages le cheval de bataille au temps de l’Administration Gbagbo, devenues depuis la chute de ce dernier, des organisations totalement absentes, amorphes, muettes, passives, inactives, sourdes, complices, coupables, incompétentes…
Vous avez dit Justice des Vainqueurs ou Complot International ?
Vabé Charles,
fondateur du journal presse opinion
consultant en stratégie et expert en communication
directeur de presse et de la communication du p.d.c.i France