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COTE D’IVOIRE « ( PDCI°) Mr Basile Yao nommé délégué général paris Île-de-France ,est un homme de grand talent », estime Konan Bedié

L’annonce est désormais officielle, Mr Basile Yao nommé   délégué général paris ile de France  »  Par  M. Kra Kouamé Joseph, secrétaire exécutif chargé des relations extérieures et des délégations,  c’est un homme de grand talent,  a saluer  le président Henri Konan Bédié, dont il a été très proche pendant la  campagne présidentielle.

Autre proche  de Basile Yao,    Nestor Koffi membre du bureau politique a applaudi cette nomination. « En tant qu’homme et en tant que citoyen, je suis heureux qu’il soit à la tête  de la délégation générale du pdci (France) « , a écrit sur Twister le porte-parole  Maurice Kakou Guikahué, secrétaire exécutif du Pdci  je lui souhait bonne chance.

Marié, père de 5 enfants

Mr Basile Yao est   titulaire d’un diplôme d’étude approfondie (DEA), mention très honorable en Anthropologie et Sociologie du Politique, obtenu en 1990 à l’institut d’étude du développement économique et sociale (I.E.D.E.S) en partenariat avec l’université Paris VIII.

Entre 1990 et 1992, doctorant en Anthropologie et Sociologie du Politique, lorsque il est rentré à la Ville de Paris, à la Direction de l’Informatique et des Télécommunications (DIT), Sous-direction de l’Administration Générale dès le second semestre de l’année 1990 en qualité d’Assistant Technique. Aujourd’hui, il est Technicien Supérieur.

En 1984, certifié de la Chambre de Commerce et D’Industrie de Paris en Techniques de Commercialisation et en 1985 certifié en Gestion au Pointe de Vente.

Il a  travaillé dix années dans le privé en qualité d’attaché commercial,  vingt huit  années durant dans l’administration Parisienne.

Au niveau Politique, né dans une famille du premier Parti de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), petit fils d’un ancien secrétaire général départemental et fils d’un Président de comité de base et conseiller PDCI-RDAde la commune de Marcory à Abidjan.

Il a commencé à militer comme tout le monde dès ma tendre enfance jusqu’à devenir président de comité en 1997 à Noisy le Grand. En 1999 j’ai été président de la commission hébergement de la rentée politique qui a vu la première  décoration de militants de la diaspora puis est monté dans le bureau de la Délégation sans discontinuité jusqu’à ce jour.

Il a été donc successivement à Paris :

Président de comité de base

– Délégué Régional

– Conseiller Politique et Régional

– Vice-Délégué Général à l’Organisation

– Vice-Délégué Général à l’Administration

– Délégué Général Intérimaire

 Nous en avons profité pour lui poser des  questions ..

 C’est maintenant que vous voulez agir pour votre parti ? C’est donc justifié quand des cadres du PDCI en France disent que vous êtes un illustre inconnu des rangs des militants du parti ?

Ce n’est pas parce que je ne plastronnais pas à leurs côtés lors de certaines manifestations que je suis un inconnu. Ils me connaissent et savent ce que je fais pour le parti. Depuis 90, quand beaucoup d’entre nous ont quitté le P.D.C.I pour faire l’aventure des nouveaux partis nés à la faveur de la réinstauration de multipartisme en Côte d’Ivoire, moi j’ai fais le choix de rester et de le défendre. J’ai toujours travaillé pour le parti, mais dans l’ombre. C’est pour des raisons professionnelles que je me suis toujours refusé les premiers rôles. Quand il y a eu la fronde contre le président Bédié, des amis et moi sommes levés et avons rédigé une motion de soutien à celui que beaucoup voulait trop vite conduire en maison de repos.

Dans certains couloirs et salons, des cadres du PDCI murmurent leur mécontentement face au partage du pouvoir. Ils estiment avoir été lésés et clament qu’ils sont constamment humiliés par les cadres du RDR.?
Désolé, ce n’est pas cela ma vision de la gouvernance. Je ne perçois pas les choses en termes de partage de pouvoir. Quand on conquiert le pouvoir d’état c’est pour agir pour le bien-être des populations, et non partager un quelconque gâteau. Il faudra que nous sortions désormais de ce type d’approche du pouvoir. On nomme celui qu’il faut aux fonctions qu’il mérite. Sur cet aspect, j’estime que le président Ouattara pratique une bonne gouvernance.

Mais les partisans de Laurent Gbagbo crient à l’injustice car ils sont les seuls à faire l’objet de poursuites judiciaires, et ils posent comme gage de réussite de cette réconciliation, la libération de leur champion emprisonné à La Haye.?
Il serait bon et utile que le FPI ne pose pas la libération de Laurent Gbagbo comme préalable pour qu’ils prennent part au débat de la réconciliation nationale ivoirienne. Le sort de Gbagbo est désormais aux mains des juges de la CPI et non des gouvernants de Côte d’Ivoire. Pour le reste, ne perdons pas de vue que la destinée d’une nation ne s’arrête pas au destin d’un homme. Pour le reste, laissons le temps à la justice nationale et internationale suivre leurs cours. Le temps est aussi un autre nom de Dieu.

  Vabe Charles .

 Directeur de la presse de la Délégation Générale du PDCI-RDA Paris et Ile de France,

presse opnion.com

 

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