Cette situation a conduit subitement à l’arrêt de toute opération de sécurité dans la capitale économique, notamment « l’opération épervier » menée conjointement par la police et la gendarmerie. Des camions CRS ont été également réquisitionnés par des hommes en arme encagoulés, sans qu’on ait suffisamment d’explications auprès des sources sécuritaires jointes à cette heure.
Des témoignages, les tirs nourris sont précisément localisés dans les zones d’Abobo N’Dotré, Cocody Angré, 8ème tranche palmeraie, puis le quartier des affaires Plateau.
Les sources informent également que la radio de police a été coupée. « Aucune communication n’est possible à cette heure » comme confirmé par ces dernières.
Serait-ce à nouveau un mouvement d’humeur de soldats mutins ? Impossible actuellement de filtrer la moindre information concrète.
Néanmoins, dans un climat politique de plus en plus tendu où tous les coups semblent permis, après l’affaire de la cache d’arme à Bouaké, des informations récemment diffusées prévenaient d’un éventuel plan de perturbation à l’approche des jeux de la francophonie, mis en place à des fins d’accusations après coup de personnalités politiques de premier plan voire de leurs entourages.
presse opinion.com
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