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COTE D’IVOIRE : ( VIDEO°)Adama Bictogo , cet homme d’affaires Impitoyable, sans état d’âme et sans scrupule” se bâtit tout un quartier a lui tout seul

PENDANT CE TEMPS,
PENDANT QUE LE PEUPLE BROIE DU NOIR,
PENDANT QUE NOUS SUBISSIONS LES ASSAUTS MEURTRIERS DES MUTINS DE OUATTARA DRAMANE,
PENDANT QUE CEUX CI SONT RÉMUNÉRÉS A HAUTEUR DE 12 MILLIONS AVEC L’ARGENT DU CONTRIBUABLE,
PENDANT QUE LA CÔTE D’IVOIRE EST HUMILIÉE AVEC CET AUTRE ENDETTEMENT DE 52 MILLIARDS POUR SATISFAIRE LES MUTINS
PENDANT QUE LES HÔPITAUX SONT SANS MÉDICAMENTS DE PREMIÈRES NÉCESSITE,
UN HOMME,JE DIS BIEN UN HOMME SE BÂTÎT TOUT UN QUARTIER A LUI SEUL !
CET HOMME ou SUPER HOMME ,C’EST ADAMA BICTOGO DE DRAMANE OUATTARA

Adama Bictogo serait actuellement dans le viseur de la justice française pour raison d’escroquerie. La société française Soeximex accuse l’ex-ministre ivoirien de l’Intégration africaine d’avoir perçu de l’argent sans avoir exécuté sa prestation.

Adama Bictogo, un homme d’affaires véreux ?

Le fondateur du groupe Snedai est empêtré dans une autre affaire qui risquerait de ternir davantage son image. En effet, la société Soeximex vient de traduire Adama Bictogo devant le TGI de Nanterre pour escroquerie. À en croire Me Emmanuel Asmar, avocat de l’entreprise française, le député d’Agboville (RDR) aurait perçu pendant près d’une décennie (depuis 2006) la somme de 4 millions d’euros (2,6 milliards de FCFA) pour l’achat et la livraison de plusieurs milliers de tonnes de cacao via le Port autonome de Lomé (Togo). Sauf que la société « Côte d’Ivoire fruits » serait une entreprise totalement fictive, car n’ayant jamais existé.

Le préjudice qui en est résulté s’élève donc à plus de 6,6 millions d’euros (4,3 milliards de FCFA). Aussi, l’homme d’affaires ivoirien risquerait cinq ans d’emprisonnement et 375.000 euros (245 millions de FCFA) d’amende auxquels s’ajoutent les dommages-intérêts.

Notons que le nom de ce cadre du RDR, parti d’Alassane Ouattara, revient de façon récurrente dans certaines affaires. Il avait préalablement été cité dans le détournement de l’indemnisation des victimes de déchets toxiques. De même, après la rupture du contrat de délivrance des visas biométriques, le Sénégal avait versé à sa société (Snedai), une indemnité de 18 millions d’euros (12 milliards de FCFA). Cette autre affaire est encore restée au travers de la gorge des Sénégalais.

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