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PARIS /Willy Bla [le militant égaré, sans parti ni repères,]

WILLY BLA, LE MILITANT ÉGARÉ QUI VOULAIT TUER L’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE À PARIS.

Voici là un extrait d’une vidéo de Willy Bla prise sur son mur et dans laquelle vidéo il exprime ouvertement son appartenance au FPI. Mais le problème n’est pas là. C’est tout à fait bien et responsable d’appartenir à un grand parti comme le FPI. Là où il faut avoir l’esprit critique et ouvert pour ne pas se tromper, cest que, souvenez-vous que, ce même Willy Bla, à un certain moment de la lutte à Paris se réclamait être le « président » du Cri-Panafricain.

Pour cela, avec certains de ses alliés d’alors, il s’était entendu pour descendre Abel Naki, le président fondateur du mouvement à coup de calomnies, diffamations et mensonges en vue de se positionner comme prétendu « président ». Mais nous vous épargnerons cet épisode de 2014.

4 ans après, les calomnies et autres mensonges au sujet d’Abel Naki orchestrés par leur complot n’auront pas triomphé. Car ce dernier est resté solide, serein, fidèle à son combat et surtout toujours présent sur la scène politique ivoirienne. Des années après, nous constatons que le président Abel Naki est resté le même et que tout n’était que pures inventions. Le temps a fini par restaurer la vérité. La vérité elle-même étant l’autre nom de Dieu, elle est là aujourd’hui et nous ne tenons pas à nous priver de ce plaisir de vous la présenter. Que ceux qui ont des yeux pour voir voient et que ceux qui ont des oreilles pour entendre entendent bien cette vidéo.

Or donc tout n’était que pur ragots et manipulations de frustrés ! Certaines personnes voulaient juste, à un certain moment se débarrasser d’Abel Naki pour posséder la résistance de Paris. Comme le disent d’autres, c’était un problème d’égo. Mais loin de là ! Le voir ainsi, sous cet angle ne serait pas efficace. C’était simplement par la jalousie, la fourberie, la tromperie que des personnes comme Willy Bla ont semé la zizanie et la division en jetant le discrédit sur bien d’autres résistants en vue de se positionner, eux mêmes.

Mais l’histoire a déjà retenue des noms et ces noms sont indélébiles à jamais.
L’histoire se nourrissant de faits et de traces des évènements passés, on ne peut la travestir. Aujourd’hui les choses sortent peu à peu et nous ne sommes qu’au début de plusieurs révélations à venir. Car si nous voulons réussir ensemble, il faut savoir marcher avec la vérité et dans la vérité. Nous savions que toutes ces manœuvres en vue de déstabiliser l’organisation (le Cri-Panafricain) étaient faites à dessein. Après que l’eau soit coulée abondamment sous les ponts, nous pouvons maintenant apprécier la face hideuse de l’homme, du loup déguisé qui oublia que la vérité rattrape toujours le mensonge.

Nous avons toujours su que Willy Bla était du FPI mais combien de fois aurait-il nié ? Combien parmi vous l’aurait cru ? Juste par pur égoïsme et par refus de se soumettre à la hiérarchie et à l’ordre, Willy Bla vadrouille comme un vagabond dans la résistance, semant derrière lui la division, la calomnie et les palabres interminables. Hier il accusait Abel Naki, figure emblématique de la résistance de traitrise, et le mensonge fut son petit bonhomme de chemin. Aujourd’hui il est au centre de clash avec Stéphane Kipré, Serges Kassy et qui d’autre encore ? Nous ne pourrons établir une liste exhaustive des victimes. Lui qui en plus, pour confirmer son incohérence prétend avoir proposé ses services à l’implantation de l’UNG, du NPR et du COJEP sans jamais citer le Cri-Panafricain, le Parti dont il rêve pourtant être le président. C’est à croire que Willy Bla est un mercenaire politique sans base.

Voyez bien, écoutez bien les vidéos, Willy Bla se réclame bien du FPI. Dans ce cas de figure, comment pouvez-vous comprendre qu’un tel individu se réclame en même temps du Cri-Panafricain ? Nous vous expliquons maintenant les motivations de ce charlatan airant de la résistance.

Le Cri-Panafricain ayant son histoire déjà écrite dans les annales, et ayant atteint des objectifs et une certaine maturité, il s’est agi pour le Président Abel Naki de le transformer en Parti politique pour étendre le champ d’action, les réflexions et les objectifs du mouvement d’alors. Willy Bla s’opposa et voulut que le Cri-Panafricain demeure ce mouvement des rues de Paris. Mais pourtant, il faut bien évoluer. Le FPI même au départ n’était pas au premier jour un aussi grand parti politique, il a dû respecter des étapes, le PDCI pareil, le COJEP, l’ANC en Afrique du Sud etc…

Lorsqu’en 2014, Abel Naki annonça officiellement que le Cri-Panafricain devenait désormais un Parti politique à part entière, Willy Bla s’opposa, prit Abel Naki pour cible et dit ne pas le reconnaitre. Il ne reconnaissait que le mouvement dont il continu illégalement de se réclamer. C’est maintenant évident à l’analyse qu’il fallait que le Cri-Panafricain reste un simple mouvement pour permettre à Willy Bla d’être à cheval entre le FPI, parti politique et le Cri-Panafricain, mouvement. Pourtant le fait que le Cri-Panafricain devienne un Parti politique n’enlève rien à son histoire, ni à ses objectif, mais plutôt lui donne plus de moyens légaux de viser encore plus loin.

Cependant, ce que Willy Bla oublia, c’est qu’on n’est pas obligé d’appartenir à une organisation lorsqu’on ne s’y sent plus. En tant que mouvement, le Cri-Panafricain regorgeait de militants et sympathisants du FPI, du COJEP, du PDCI, de l’UNG etc… Mais lorsque ce mouvement est devenu un parti politique, nombreux ont été ceux qui sont librement retournés à leur partis d’origines. Ils ont été responsables et honnêtes. Cela n’a pas été le cas de Willy Bla qui lui, refusa de retourner officiellement vers le FPI. Tout simplement parce que hypnotisé par les affabulations de son groupuscule, refuse d’être à la disposition des responsables connus du FPI.

Il s’accrocha coute que coute au Cri-Panafricain, au prix même de vouloir le noyer. Mais le Cri-Panafricain est fort et continu sa marche pour la restauration la démocratie sincère en Côte d’Ivoire. La preuve, il était dernièrement reçu à Abidjan en audience par la première dame Simone Gbagbo, pas en tant que mouvement mais en tant que Parti politique.

Souvenez-vous d’un même cas de figure qui s’était passé au COJEP. Lorsque Blé Goudé décida de transformer le mouvement COJEP en parti politique, cela n’avait pas plu à bien de gens qui ont vite fait de le traiter de vendu et de tous les noms, l’accusant même d’avoir théâtralisé son arrestation au Ghana.

Angenor Youan Bi était celui qui jouait le même rôle que Willy Bla au Cri-Panafricain. Lui, pourtant membre du FPI, aussi s’opposa et rétorquait que le COJEP était foncièrement un mouvement. Il fut opposé à son président Blé Goudé pendant quelques temps jusqu’à ce qu’aujourd’hui ce dernier soit nommé responsable politique au FPI.

Comme pour dire qu’à un certain moment, il faut savoir être courageux et prendre ses responsabilités pour décider de la vie qu’on souhaite. En politique, les frivoles et les militants égarés n’ont aucun avenir. Willy Bla ne peut pas se réclamer ouvertement membre du FPI et vouloir à la fois diviser le Cri-Panafricain et par ailleurs fragiliser par la zizanie et l’indiscipline les autres entités qui mènent le combat tout azimut. Le faire serait une abomination contre ce Parti qui mérite mieux que cela, au regard de ce qu’il représente pour la lutte favorable de la gauche ivoirienne depuis mars 2011.

Sachons lire entre les lignes, seule la vérité libère. Nous avons trop longtemps été distraits.

Boni jean Eudes/presse opinion.com

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